Ces derniers temps, ciel est bleu et le soleil brille ce printemps. Un peu trop peut-être…

Voici une phrase que l’on n’a pas l’habitude de prononcer en Belgique. Mais il n’est pas tombé une goutte sur certaines régions depuis des semaines. Et si d’autres ont pu bénéficier de quelques pluies, cela ne s’est pas avéré suffisant.

L’indice de sécheresse grandit et l’eau commence à manquer. Un phénomène qui pose des questions aussi bien écologiques qu’économiques.

Un assèchement des terres

En Belgique, la pluie dessine les paysages. Mais ces derniers temps, elle a laissé place à un temps sec et ensoleillé.

Au mois de mars l’IRM a recensé plus de 227 heures d’ensoleillement. Un véritable record pour notre pays pluvieux. Si cela fait du bien au moral, cela peut entrainer une sécheresse des sols, comme on peut le voir sur la carte.

En effet, la pluie est grandement attendue par les jardiniers, les agriculteurs mais également par nos nappes phréatiques. Dans les jardins, la terre se craquelle et les réserves d’eau peuvent déjà être à sec.

Ces dernières années, on constate que ses longues périodes sans pluie sont de plus en plus fréquentes. Une conséquence du changement climatique.

Cette problématique soulève plusieurs questions :

  • Quels efforts peut-on fournir pour économiser l’eau potable ?
  • Comment une citerne d’eau de pluie peut aider ? Mais comment ne pas tomber à court d’eau ?
secheresse IRM - eau de pluie

Sécheresse : comment préserver l’eau ?

Ces périodes de sécheresse nous rappellent que l’eau sera un des premiers manquements sur la terre. Dès lors, cet or bleu, il faut le protéger. L’eau recouvre 3/4 de la surface de la terre, mais seul 2% de cette eau est douce et donc potable.

Plus que jamais, nous devons préserver les ressources naturelles pour nos futures générations mais également pour la maitrise de nos budgets.

A l’heure actuelle, nous ne pouvons qu’agir sur notre consommation. En se posant les bonnes questions sur notre utilisation de l’eau potable, en réduisant notre consommation et en optant pour un système de récupération d’eau de pluie, cela peut faire la différence.

citerne eau de pluie contre sécheresse

Récupération d’eau de pluie et sècheresse

En Belgique, l’installation d’une citerne d’eau de pluie est devenue une obligation pour les nouvelles constructions dans de nombreuses communes.

Une citerne d’eau de pluie combinée à une filtration d’eau pluviale représente un avantage écologique et économique. En effet, ce système vous permet d’utiliser un maximum l’eau de pluie dans la maison. En effet, nul besoin d’eau potable, quand l’eau de pluie peut alimenter les chasses d’eau des toilettes, le lave-linge, le robinet du jardin ou encore la douche.

Si la mise en place de ce système peut s’avérer onéreux, il est rentable en seulement 7 ans ! Un plus pour l’environnement et votre portefeuille.

Mais que faire en cas de sécheresse ?

Si la récupération d’eau de pluie permet de protéger nos réserves d’eau, pour qu’elle puisse être optimale, il faut qu’elle soit remplie et pour ça, il faut de la pluie.

Avec des printemps de plus en plus secs, certaines citernes d’eau de pluie peuvent se retrouver à vide. Aujourd’hui, lors de l’installation de cuve de récupération d’eau de pluie, il est important de voir les choses en grand pour collecter un maximum de pluie.

Chez Ovalo, nous conseillons toujours d’opter pour une cuve d’au minimum 10.000 l. Ce qui vous permet d’éviter les épisodes de sécheresse et de surcharger le réseau en repassant sur le système d’eau de ville.

 

La récupération et la filtration d’eau de pluie offre de nombreux avantages. Un atout écologique, économique et autonome pour un avenir plus durable.